Voici le relevé des conclusions, réalisé par l’administration : Relevé des conclusions 17-12-2015
→ Restauration d’une classe novice : La DGE rappelle que cette restauration n’est pas envisagée compte tenu de l’absence d’éléments nouveaux. Il est convenu que cette question ne devant pas retarder les projets de décret et d’arrêté précités, elle sera examinée après leur publication. La DGE relaiera toutefois cette demande des associations aux ministres ;
Nous confirmons que l’administration a entendu nos doléances, elle va étudier nos dossiers et voir ce qui peut être fait. Nous tenons à rappeler ce que nous avons dit lors de la réunion et ce que nous avons écrit dans notre réponse :
…effectivement les conditions de la licence HAREC sont conformes aux recommandations CEPT TR6101 et TR6102 et effectivement ces conditions n’ont pas changées. La Classe 3, dite F0, n’est pas conforme aux recommandations CEPT et n’a effectivement pas à être restaurée telle qu’elle existait, nous demandons l’application des 2 autres recommandations CEPT dans une forme à discuter et nous avons fait des propositions en ce sens…
Nos demandes :
- Une classe de base conforme à la recommandation ECCRep089 qui pourrait être préparée au collège, avec accès au décamétrique et qui intègre les F0.
- Une classe intermédiaire conforme à la recommandation REC0506 qui pourrait être préparée au lycée, avec accès au décamétrique.
- La classe HAREC existante.
Nous demandons aussi :
- le reclassement de tous les titulaires de la classe 2 en classe 1
- Le rétablissement de l’épreuve de télégraphie comme épreuve facultative.
- La création d’épreuves optionnelles (dont la télégraphie, mais aussi une épreuve de langue, une épreuve pratique de QSO ou une épreuve d’histoire de la radio) qui pourraient rapporter des points et qui pourraient être organisées par les radioclubs agréés par l’administration.
Nous ne souhaitons pas modifier l’actuel examen organisé par l’ANFR, mais simplement moduler les classes obtenues en fonction du résultat acquis lors des épreuves et des points ajoutés par les épreuves facultatives.
C’est donc un vaste chantier qui s’ouvre à nous, qui mettra du temps à aboutir, et qui demande l’investissement de tous pour faire avancer les choses, et qu’une certaine association, qui n’est pas restée jusque la fin, et qui n’a donc pas entendu la réponse de l’administration, cesse de nous fustiger et de faire croire n’importe quoi sous prétexte de se rendre intéressante. Relevons nos manches et mettons nous au travail en 2015 il n’y a plus que 13 800 radioamateurs, alors il est temps d’ouvrir les yeux et de redresser la situation ! Rejoignez l’URC, plus nous serons aujourd’hui et plus l’avenir se présentera sous de meilleurs hospices.